Difficile aujourd’hui d’échapper à la vague des « épanchements sur soi » qui envahissent l’ensemble des réseaux sociaux et des scènes sociotechniques. Plus surprenante en est sans doute l’utilisation par des grands brûlés de ces mêmes canaux de communication pour « ex-peauser » leurs cicatrices et les mettre en valeur comme des trophées.